« La non-violence, ça s’apprend »

« La non-violence, ça s’apprend »

Mercredi 7 décembre, les 5e et les 3e ont eu la chance de suivre la conférence de Jean-François Bernardini intitulée « La non-violence, ça s’apprend ». Jean-François Bernardini, auteur-compositeur du groupe I Muvrini, parcourt les collèges et lycées de France pour délivrer le message de la non-violence. Des anecdotes, des métaphores, des petites phrases que Jean-François Bernardini nous a racontées, voici ce qu’ont retenu les élèves de 5e B :

« Notre cerveau est un ordinateur. Il ne faut pas y mettre n’importe quoi comme virus ! »

« En 5 secondes, on peut détruire notre vie à cause de la colère ».

« Des mots peuvent être plus violents que des coups ».

« On ne règle pas ses problèmes par la colère ».

« On peut se maitriser même lorsqu’on est hors de nous ». Un ami peut nous dire : « Arrête ! », « Calme-toi ! », « Respire ! »

« Il faut apprendre à faire les choses sans avoir recours à la violence : la violence ne résout rien ».

« Tout le monde peut changer et devenir meilleur, même ceux qui font de grosses erreurs ».

« Dans la vie, il faut savoir agir gentiment comme la girafe et ne pas être violent dans ses mots comme le chacal » (le chacal et la girafe sont les métaphores dans la communication non-violente qui illustrent les deux types de communication).

« Nous sommes comme des grains de blé : soit on décide de pousser, grandir, soit on ne pousse pas, donc on n’apprend rien et on ne grandit pas ». « Un grain de blé, ça pousse et ça fait des choses merveilleuses ».

« L’histoire de Rosa Parks m’a touché pour ce qu’elle a fait ». « Rosa Parks est une femme noire qui s’est assise dans un bus sur une place réservée aux Blancs et qui s’est faite arrêter pour cela. Voilà pourquoi elle est connue : elle a tenu tête aux lois racistes » des États-Unis de l’époque.

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Dessin de Lou Bonniol

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